Catégorie : Expression publique

Déclaration politique d’ENSEMBLE!, 5 février 2017

Les élections françaises de 2017 se déroulent dans un contexte international lourd de tensions : arrivée de Donald Trump à la présidence des États-Unis, interventionnisme de Vladimir Poutine, approfondissement des crises et des guerres au Moyen-Orient, attentats terroristes… Le monde est secoué de bouleversements qui ne vont pas manquer de se développer dans les prochains mois.

La société française est elle-même travaillée par des tensions et des fractures multiples qui peuvent se concentrer dans une crise politique inédite dont la séquence électorale de 2017 peut être un moment de dénouement.

Les inégalités insupportables, le chômage et la précarité, la crise du travail, l’absence d’avenir en particulier pour les jeunes générations, le déclassement que subissent certaines catégories ou certains territoires… tous ces phénomènes travaillent en profondeur la société française.

Mais elle est aussi marquée par les regroupements contre la politique sécuritaire et le projet de déchéance de nationalité, comme les mobilisations du printemps 2016 contre la loi « travail » et les discussions qu’elles ont stimulées. Plus largement, dans toute la société, sous des formes diverses, la recherche d’alternatives, les résistances aux régressions libérales et autoritaires, les solidarités nombreuses de citoyens anonymes envers les réfugié.es, la volonté d’inventer des solutions concrètes pour initier d’autres façons de vivre, de produire, de consommer… sont autant de germes d’une autre façon de faire société.

Cette opposition du plus grand nombre à la politique du gouvernement s’est traduite par le retrait du Président Hollande de la primaire et par la défaite éclatante de l’ex-Premier ministre Manuel Valls.

Le défi pour les forces de gauche qui ne renoncent pas à changer le monde est de se lier à toutes les aspirations progressistes, démocratiques, écologiques et sociales pour construire une alternative politique digne de ce nom.

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Unité ! Décla­ra­tion d’En­semble, 12 janvier 2017

Déclaration de l’équipe d’animation nationale d’ENSEMBLE, 12 janvier 2017.

L’année 2017 s’annonce lourde de graves dangers pour la population.

La faute d’abord au bilan désastreux de ce gouvernement qui aura fait le choix continu d’une politique ultralibérale et sécuritaire, qui aura systématiquement privilégié le patronat contre le monde du travail. Du Cice en passant par la destruction du code du travail, toute la politique du gouvernement est allée malheureusement en ce sens.

Les effets de cette politique sont délétères : le chômage de masse, la précarité généralisée, les difficultés sociales massives d’une grande partie de la population se trouvent encore accentuées. Cela participe à brouiller encore plus des repères politiques déjà très affaiblis, d’autant qu’au désastre de la politique économique et sociale s’ajoute le tournant sécuritaire.

Macron, hors de la primaire socialiste, comme Valls en son sein, se disputent le bilan de ceux qui auront su le mieux liquider la gauche. Hamon et Montebourg veulent s’en démarquer mais sans avoir pu démontrer la constance et l’utilité de leur position. Le désaveu du gouvernement et la crise du parti socialiste sont tels qu’il est peu probable que la primaire socialiste désigne le futur vainqueur de la prochaine élection présidentielle.

Dans ces conditions, la droite et l’extrême droite ont beau jeu de se poser en recours quand le gouvernement aura pendant 5 ans travaillé pour eux.

Car c’est fort de la politique de ce gouvernement que Marine Le Pen annonce pouvoir assurer la présence de l’extrême droite au second tour des prochaines élections, extrême droite qui maintient l’intégralité de ses positions réactionnaires et racistes en dépit d’un renouvellement de son image. Fillon se situe fondamentalement sur le même terrain réactionnaire et bourgeois, en y ajoutant un aspect vieille France catholique.

Leurs projets sont clairs : réaffirmer les valeurs de droite contre les homosexuels, les femmes, les immigrés, détruire l’assurance maladie et ce qui reste des conquêtes des travailleurs du siècle dernier, réprimer tous azimuts les syndicats, les associations, les lanceurs d’alerte.

L’un comme l’autre sont un danger mortel pour les droits sociaux et démocratiques, pour les femmes et les étrangers.

NON à Madame Le Pen qui veut renouveler son image pour mieux conserver ses positions réactionnaires et racistes !

NON à Fillon, la « vieille France » qui a fait la politique de Sarkozy avec la restauration de l’ordre moral, la destruction de la Sécu, au service du patronat, et voulant jouer, comme sa rivale dans la cour des « grands », tout à côté de Poutine et de Trump.

Le contexte et les dangers qui guettent ne peuvent conduire au repli : il nous faut proposer une initiative et un cadre unitaires qui peuvent combattre les démoralisations et rassembler, pour tracer un horizon différent.

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ENSEMBLE! Limousin : en 2017, ne pas se tromper de colère : des vœux de justice sociale, de partage et de fraternité

 En ce début d’année 2017, les pensées des militants d’ENSEMBLE !, composante du Front de Gauche, vont tout naturellement vers ceux qui, subissent au quotidien les effets dévastateurs des politiques gouvernementales, connaissent des fins de mois difficiles, endurent le chômage ou sont stigmatisés par des politiques et des discours discriminatoires.

Il y a de quoi être en colère, quand un gouvernement qui se prétend de gauche conduit une politique de droite, casse les droits sociaux avec la loi-travail, refuse d’ouvrir ses frontières aux migrants et emprunte parfois une rhétorique digne de l’extrême droite.

Pourtant cette année 2017 doit être celle de l’espoir : après des années de reculs sociaux, d’atteintes environnementales, de dénis démocratiques, il est urgent de reconstruire un espoir à gauche, en rupture avec les politiques des Hollande-Valls-Macron, et menant sans compromissions le combat contre la droite et l’extrême-droite.

A l’heure où beaucoup parlent de repli sur soi, de défense de la patrie, portons l’ambition d’une gauche qui ose, en portant haut le drapeau de la justice sociale, de la solidarité internationale et de la fraternité.

En 2017, ne nous trompons pas de colère ! Barre à gauche, toute !

Relaxe pour les 8 de Goodyear à Amiens les 19 et 20 octobre !

cakvh8dwaaaq91d1-2e128 Ce sont plusieurs dizaines de haut-viennois qui seront à Amiens les 19 et 20 octobre, à l’initiative du comité Haute-Vienne de soutien aux 8 de Goodyear, qui a organisé un co-voiturage (mail de contact : soutienauxgoodyear87@gmail.com)

Ensemble soutient et appelle à la relaxe des 8 de Goodyear : non à la criminalisation de l’action syndicale !

Voici le communiqué publié à cette occasion.

« Le procès en appel des 8 salariés de Goodyear, condamnés à 24 mois de prison dont 9 mois ferme et à 5 ans de mise à l’épreuve en janvier 2016, se déroulera les 19 et 20 octobre au TGI d’Amiens.

C’est le procureur de la République qui avait décidé de les poursuivre pour la retenue, en 2014, de deux cadres pendant une trentaine d’heures, malgré l’abandon des poursuites par la direction et les deux cadres concernés.

Pendant plus de sept ans, 1173 salarié-e-s ont lutté sans relâche contre une multinationale pour la défense de l’emploi et contre la fermeture de l’entreprise, proposant y compris sa reprise par une coopérative ouvrière.

Les 19 et 20 octobre, un rassemblement national de soutien aura lieu avec la participation de nombreux responsables syndicaux, associatifs et politiques.

« Ensemble! » sera présent pour le retrait des poursuites et la relaxe des 8 de Goodyear.

Il s’agit de mettre un coup d’arrêt à la criminalisation de l’action syndicale alors que les licenciements, restructurations et fermetures d’entreprises vont bon train, comme le montrent les 5000 emplois supprimés à SFR ainsi que les 2133 postes que PSA veut faire disparaître.

Il s’agit de défendre les libertés fondamentales mises à mal par l’état d’urgence sans cesse renouvelé.

Que ce soit suite aux manifestations contre la loi El Khomri ou à des grèves, des débrayages, il y a aujourd’hui plus de 210 poursuites et procès à l’encontre de manifestant-e-s et de syndicalistes.

Pour le gouvernement, le patronat, il faut briser les résistances, casser les militant-e-s qui s’opposent à leur politique libérale.

Nous étions aux côtés des syndicalistes d’Air France traduits en justice.

Nous serons, les 19 et 20 octobre, avec les 8 de Goodyear pour l’annulation des poursuites et leur relaxe. »

Que devient la forma­tion conti­nue pour adultes dans le nouveau duché d’Aqui­taine ?

logogreta_c_q Repris de  nos camarades d’ENSEMBLE! de la Vienne : http://reve86.org/que-devient-la-formation-continue-pour-adultes-dans-le-nouveau-duche-daquitaine/

Éléments d’un puzzle

La Validation des Acquis de l’Expérience (VAE). Les candidats sont à 68% des femmes qui travaillent dans les secteurs de l’aide à la personne (Éducatrice Spécialisée, Petite Enfance, Monitrice Éducatrice). 60% des candidat-es ont plus de 40 ans et 72% sont en emploi

La VAE est décevante au vue des résultats escomptés à son origine. C’est une démarche qui n’est ni facile ni rapide (une moyenne de 18 mois entre la demande de VAE et l’entretien avec le jury)

La VAE souffre d’une complexité croissante de son financement, notamment auprès du FONGECIF (Fonds de Gestion des Congés Individuels de Formation, financement par les des congés de formation des salarié-es).

Du côté des candidat-es il y a souvent incompréhension entre la nature d’un diplôme (le BTS avant tout) qui recoupe des champs de compétences variés et les années d’expériences professionnelles mais dans des domaines plus spécialisés que le diplôme.

La solution essentielle trouvée par l’État va être de proposer des VAE partielles s’appuyant sur un « porte feuille de compétences ». Retenez bien cette phrase.

Le GRETA (GRoupement d’ETAblissement) s’occupe de la formation continue des adultes au sein de l’Éducation Nationale. Son financement est essentiellement public (75%), les ¾ par les collectivités territoriales, essentiellement sur les formations du bâtiments et du bois (28%) puis vient la formation générale (14%) et la métallurgie (12%).

70% des formations du GRETA jusqu’à présent étaient orientées par la Région Poitou Charentes vers des stages de « compétences de base » à savoir être autonome pour, par exemple, pouvoir remplir son inscription à pôle emploi (la formation des chômeurs et chômeuses est géré prioritairement par Pôle Emploi), savoir se déplacer, se repérer dans le temps et l’espace…

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Piscine de Beaubreuil : lettre ouverte de Limoges Terre de Gauche

piscine-tournesolA l’initiative des élus du groupe Limoges Terre de Gauche (PCF, PG, ENSEMBLE! et citoyens)

Limoges le 27 juin 2016

Lettre ouverte

M. Lombertie, Maire de Limoges
Hôtel de ville, Place Léon-Betoulle, 87031 Limoges Cédex 1

Monsieur Vandenbroucke, Président de Limoges Métropole
64 Avenue G. Dumas, CS 10001, 87031 Limoges Cédex 1

Copie : Conseil de quartier de Limoges-Beaubreuil
s/c de Mrs B. Amrouche et Ph. Clair

M. le Maire de Limoges, M. le Président de la Communauté d’Agglomération,

Depuis l’ouverture en janvier 2015 du centre communautaire Aquapolis géré en délégation de service public par une société privée, notre groupe Limoges-Terre de Gauche s’est à de nombreuses reprises inquiété de l’impact que celui-ci aurait sur les piscines municipales de la ville de Limoges et notamment celle de Beaubreuil. Rapidement, cette dernière a vu, comme les autres piscines de la ville, sa fréquentation baisser, baisse accentuée par des fermetures au public les week-ends, puis durant tout l’été caniculaire 2015, déjà au motif qu’elle ne serait pas assez fréquentée.

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Communiqué de Ensemble! Valls dégage, la loi travail on n’en veut pas.

Communiqué300 000 personnes ont manifesté le 26 mai pour le retrait de la loi travail à l’appel de l’intersyndicale et des organisations de jeunesse. C’est un succès.

« Ensemble! » dénonce les violences policières et les arrestations arbitraires qui ont eu lieu aujourd’hui à Paris et dans plusieurs villes.

La montée en puissance des blocages, des barrages, de la grève dans des secteurs névralgiques de l’économie, comme les raffineries, les dépôts de carburant, les ports, les transports, les centrales nucléaires et thermiques fracture la cohésion gouvernementale.

En cause, l’article 2, celui qui est la charpente du texte de loi puisqu’il institue l’inversion des normes et donc le dumping social. Bruno Le Roux et Michel Sapin qui envisageaient une réécriture de cet article 2 ont tous les deux été sèchement recadrés par M. Valls, droit dans ses bottes, comme A. Juppé en 1995. Ni retrait, ni réécriture dit M. Valls de façon péremptoire, tout en rajoutant qu’il peut y avoir des modifications, sans savoir lesquelles.

Malgré les incessants reportages dans les médias sur les automobilistes à la recherche d’essence, majoritairement l’opinion publique, selon un dernier sondage, est contre la loi travail et fait porter sur le gouvernement la responsabilité des blocages. Ce gouvernement est en pleine déroute et bloque par son entêtement toute solution à la crise sociale et politique en cours.

La généralisation des grèves et blocages, la convergence des luttes, la jonction entre Nuits debout et salariéEs : tout cela doit continuer et s’amplifier jusqu’au retrait de la loi travail.

Nous voulons un code du travail protecteur des droits des salariéEs pour le 21e siècle, pas d’un retour au 19e.

Valls doit démissionner et la loi travail être retirée.

Communiqué d’ENSEMBLE! Limousin : ne laissons pas Valls et Hollande réussir un double attentat social et démocratique

Communiqué

Le débat à l’Assemblée nationale tourne court. Le gouvernement a autorisé M. Valls à utiliser le 49.3.

La répression et les violences policières à l’égard de jeunes, de syndicalistes ou de simples manifestant.es, a montré que le gouvernement avait peur de la mobilisation populaire, de la convergence des luttes et des colères. Le gouvernement qui se réclame du « dialogue social » le pratique à coups de matraque et de flash-ball. Maintenant il veut museler et faire taire l’opposition parlementaire en utilisant l’arme anti-démocratique du 49.3 : c’est le signe qu’il est en position de faiblesse.

Les nombreuses manifestations depuis le 9 mars, le succès de la pétition pour le retrait sur internet, la mobilisation citoyenne des Nuits debout sont la traduction d’un rejet massif de cette loi de régression sociale.

L’essentiel du projet est toujours là par rapport à l’inversion de la hiérarchie des normes qui permet le dumping social tirant vers le bas les conditions de travail et les salaires, avec la toute-puissance patronale pour licencier, même si le MEDEF fait mine de s’offusquer des quelques modifications.

Après la loi Macron, la loi El Khomri est un nouvel attentat social. Le passage en force par le 49.3 est un attentat démocratique. Ne laissons pas faire ! D’ores et déjà, indiquons aux député.es limousin.es qui accepteraient le chantage de Manuel Valls que nous appellerions à les faire battre en 2017. Puisque le premier ministre engage la responsabilité de son gouvernement, il faut le censurer pour empêcher la loi de passer. Et, dans les jours qui viennent, il s’agit d’opposer  à nouveau la résistance la plus large. Le meeting organisé le jeudi 12 mai à Limoges est une étape de ce combat à poursuivre. Obtenons le retrait de la loi-travail !

Communiqué d’ENSEMBLE! Limousin : La LGV Poitiers-Limoges est morte ? Tant mieux ! Longue vie au POLLT !

stop-lgv-banniereENSEMBLE! Limousin salue l’annulation de la « déclaration d’utilité publique » de la LGV Poitiers-Limoges : c’est une décision de bon sens ! L’engagement dans ce combat de nombreux citoyens, associations, militants syndicaux et politiques, élus a enfin payé ! Belle victoire de tous ceux qui ont lutté jusqu’au bout, malgré les mensonges et les copinages politiques ; malgré l’obstruction des barons politiques du PS et de l’UMP-LR réunis (J.P Denanot puis Gérard Vandenbroucke à la région Limousin, M.F. Pérol-Dumont au conseil général de la Haute-Vienne, A. Rodet et E.R. Lombertie pour la ville de Limoges), soutenus par quelques grands patrons et libéraux de tout poil (dont le président de la CCI de Limoges), le conseil d’Etat a fait le choix de la raison.

Décision raisonnable parce que ce train désormais fantôme, ne viendra pas renforcer la métropolisation du territoire aux dépens d’un aménagement du territoire déjà fortement mis à mal par les politiques gouvernementales et régionales qui privilégient les grandes villes aux dépens du reste du Limousin.

 Il est temps maintenant de défendre le train pour tous et de récupérer ce qui peut l’être encore des millions d’euros d’argent public engloutis par les responsables des collectivités locales qui ont joué sans compter avec les impôts des contribuables pour les intérêts de quelques uns. Quelle gabegie ! Tournons enfin la page. Il est temps de défendre les trains du quotidien, le Bordeaux-Lyon ainsi que la seule ligne structurante vers la capitale desservant tous les territoires : le Paris-Orléans-La Souterraine-Limoges-Toulouse. La LGV Poitiers-Limoges est morte ? Tant mieux ! Longue vie au POLLT !

Limousin Terre de Gauche : LGV Poitiers-Limoges : histoire d’un fiasco

polltC’est par un communiqué que les anciens  conseillers régionaux Limousin Terre de Gauche (ENSEMBLE!, PCF et PG) ont accueilli avec satisfaction, l’annulation de la DUP concernant la ligne LGV Poitiers-Limoges. Voici leur communiqué : « 

Le conseil d’état a annulé la déclaration d’utilité publique du barreau LGV Limoges Poitiers, validant ainsi ce que les élus du groupe « Limousin terre de gauche » n’ont cessé de dire pendant 5 ans au conseil régional du Limousin : non seulement cette infrastructure n’était pas financée mais ses avantages étaient bien maigres par rapport à ses inconvénients : destruction de terres agricoles mais également mise en danger de la ligne POLLT, indispensable à un aménagement du territoire équilibré pour notre région. Cette DUP signée en urgence en le 10 janvier 2015 n’aura été finalement que le cadeau de consolation du gouvernement aux élus socialistes de l’ex région Limousin. Cadeau inutile et bien dérisoire pour faire passer l’amère pilule de la disparition de notre région. Que de gâchis d’argent public pour rien! Les Limousins auront ainsi financé la LGV SEA qui ne passe pas sur leur territoire et des études inutiles. Il est désormais temps d’arrêter les frais et de récupérer ce qui peut l’être encore, notamment la provision de 40% prévue par la convention sur la participation à la LGV Bordeaux-Tours en 2011, en cas d’absence de DUP. Maintenant, le ministre des Transports doit s’engager davantage dans la nécessaire amélioration du POLLT et réouvrir la ligne Bordeaux Lyon et le conseil régional se préoccuper du financement des TER. »
 
Christian Audouin, Stéphane Lajaumont, Laurence Pache, Pascale Rome
anciens conseillers régionaux Limousin terre de gauche 

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