Marche pour le climat à Limoges le samedi 13 octobre 2018

Nouvelle marche pour le climat le 13 octobre 2018… Voici le texte d’appel des organisations signataires. 
Après la ​formidable mobilisation du 8 septembre ​dans toute la France qui a réuni 130 000 personnes pour dire haut et fort leur volonté que la France, les français et les citoyens du monde agissent urgemment contre le changement climatique, une nouvelle ​marche pour le climat ​s’annonce à Paris et dans 30 villes pour le ​13 octobre 2018​.
Limoges ne sera pas en reste. Nous vous donnons rendez-vous pour une marche ​au départ de la place de la mairie à 11h​, le samedi 13 octobre 2018.
Le rassemblement du 8 septembre a été aussi une réussite à Limoges, 500 personnes environ en deux jours d’organisation et plusieurs articles de presse, relayés aux principaux responsables politiques.
Mais face à un sujet comme le changement climatique, nous devrions compter en milliers les limougeauds dans la rue. Nous allons le démontrer avec une marche, plus visible et encore plus volontaire, qui partira de la mairie à 11H15 pour rejoindre la Préfecture.
Nous ​appelons les associations, organisations, collectifs, syndicats, entreprises, individus prêts à de vraies politiques de lutte et d’adaptation au changement climatique à :
– soutenir publiquement et relayer cet appel dans leurs réseaux pour le diffuser le plus largement possible afin de rassembler un maximum de personnes et d’initiatives
– venir marcher​ avec nous le 13 octobre.
– nous contacter par message Facebook si vous souhaitez ​apporter votre concours logistique en matériel
(porte voix, affiches, tracts, musique) ou ​en bénévolat ​(communication, organisation de la marche, etc).
Malgré les dizaines de tribunes, d’appels publiées depuis plusieurs décennies pour agir contre le changement climatique, le changement de trajectoire nécessaire à une lutte efficace n’a pas encore eu lieu. Mais l’urgence s’avance : partout dans le monde, les effets de l’évolution du climat se font sentir. Océans de plastique, phénomènes climatiques extrêmes, épuisement de la biodiversité et des terres arables, fonte des glaciers et des banquises, libération de gaz à effet de serre du fait du réchauffement des steppes, migrations climatiques…
Ces dernières années, le slogan ​« Un autre monde est possible » a souvent été entendu. Nous sommes aujourd’hui au stade où ​un autre monde est nécessaire​. Cet autre monde est à portée de main.
En démissionnant du gouvernement le 28 août dernier, Nicolas Hulot est devenu un lanceur d’alerte. L’alerte a été entendue et nous manifestons notre volonté de voir apparaître ce monde neuf, où l’activité humaine ne travaille pas contre l’environnement qui rend son existence possible, mais avec lui. ​Soyons le plus nombreux possible pour faire entendre raison à la société et aux gouvernants​. ​Ensemble, nous pouvons faire basculer l’opinion et changer la trajectoire pour une sobriété plus épanouie.
Collectif de citoyens, associations, ONG : ALTERNATIBA LIMOUSIN, AMIS DE LA TERRE, ANV-COP 21, Grands-Parents pour le climat, Limousin Nature Environnement, ALDER CLIMAT-ENERGIE, LIMOUSIN ECOLOGIE, LA CITOYENNE SOLAIRE, Terre de Liens, etc…  et vous si vous le souhaitez !
ENSEMBLE! 87 appelle bien évidemment à la réussite de cette mobilisation en y participant en nombre !

Une journée en solidarité avec les migrants : dimanche 7 octobre à Limoges

C’est à  une journée de solidarité et d’échanges, le dimanche 7 octobre 2018, que vous convie le collectif Chabatz d’entrar (auquel participe ENSEMBLE! 87), dans les locaux de l’IF, 8 rue Charles Gide à Limoges, de 10h30 à  20h.
Comme l’indique le collectif, dans son tract d’appel à  cette journée, il est temps d’oser la fraternité.

« D’autres mots existent : solidarité, humanité, hospitalité, fraternité accompagnés d’actes permettant aux personnes à  la rue d’avoir un toit (occupation de l’ancien CRDP), permettant l’apprentissage du français, de tisser les liens entre populations vulnérables, d’ici et d’ailleurs car nous sommes tous, français ou immigrés les victimes d’un même système d’exploitation qui sème la misère partout.

Un toit pour tous !
Faute de mise en place de solution pérenne d’hébergement par les pouvoirs publics, la mise à  la rue est permanente. Ce ne sont pas les locaux vacants qui manquent, mais la volonté politique d’accueillir dignement ces réfugiés qui ont tout quitté au risque de leur propre vie pour fuir les bombes, les dictatures ou une vie de misère.

Une fête pour tous !
« Chabatz d’entrar organise une fête ce dimanche 7 octobre de 10 à  20 heures dans les locaux de l’IF. Le collectif a besoin de votre soutien pour l’accueil des migrants !
Vous pouvez télécharger le programme en cliquant sur ce lien Flyer 7 octobre

Un toit c’est un droit ! Pas d’expulsion par la Région ! Rassemblement 29 août 11h30 à Limoges devant le tribunal administratif

Nous avons besoin de vous !
Nous appelons à une présence massive lors de l’audience publique au Tribunal administratif de Limoges – 1 cours Vergniaud le mercredi 29 août à 11h30
Les habitants de l’ancien CRDP de la faculté de lettres sont menacés d’expulsion par une requête de la région Nouvelle-Aquitaine, propriétaire des lieux.
Printemps 2018 : à la fin de la « trêve » hivernale, la préfecture mettait progressivement des dizaines de familles et de célibataires à la rue. Devant cette situation, le collectif a occupé un lieu ouvert mais vide depuis 8 ans, appartenant à la Région (l’ancien CRDP) pour permettre inconditionnellement aux personnes sans abris de trouver un toit. Tant bien que mal, le lieu a été aménagé pour que les occupants y trouvent un minimum de « confort » et de repos pour survivre. Le lieu a été investi progressivement étage par étage, et aujourd’hui l’occupation est complète sur trois étages. Des demandes d’hébergement arrivent encore et pour l’instant ne peuvent pas être satisfaites. Le lieu accueille actuellement plus de 60 personnes exilées dont de 1/3 d’enfants de tous âges.
Le collectif demande l’ouverture de 200 places d’hébergement d’urgence en Haute-Vienne.

Non à la suppression de l’académie de Limoges !

RASSEMBLEMENT CITOYEN DEVANT LE RECTORAT DE LIMOGES,

MERCREDI 27 JUIN 2018 A 17H

A la suite de la réunion publique organisée jeudi 14 juin,  l’Interfédérale CGT éduc’action, FNEC-FP FO, FSU, Sgen-CFDT, SNALC-FGAF, SUD éducation, UNSA éducation appelletout.e.s les citoyen.ne.s, les personnels de l’Education nationale, les élus (avec leur écharpe), les partis politiques et associations à se rassembler devant le Rectorat de Limoges, mercredi 27 juin à 17h  pour refuser

✓  la suppression de l’Académie de Limoges ;

✓  l’accroissement du pouvoir du Recteur de Bordeaux sur notre académie ;

✓  les suppressions de postes, les mutations fonctionnelles ou géographiques imposées pour les personnels du rectorat et des DSDEN ;

✓  la perspective d’une réorganisation territoriale qui viserait à réduire le nombre de circonscriptions et à nommer un DASEN sur plusieurs départements ;

✓  la régionalisation du recrutement et du mouvement des enseignants du 2d degré ;

✓  l’affaiblissement de l’offre éducative sur notre territoire ;

✓  la fermeture d’écoles, collèges, lycées, lycées professionnels ;

✓  la lente dévitalisation de nos  départements.

Une pétition mise en ligne le 07/06/18 a déjà recueilli plus de 4 500 signatures (https://framaforms.org/mon-academie-jy-tiens-non-a-la-suppression-de-lacademie-de-limoges-1527104487)

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Rappel : 

Un rapport publié le 13 mai préconise la fusion des trois académies  de la Nouvelle Aquitaine, ce qui aurait comme conséquence la suppression des Académies de Limoges et  Poitiers.

– pour les usagers :   affaiblissement de l’offre éducative sur notre territoire,  suppression d’écoles, de collèges et de lycées et lycées professionnels, fermeture de classes et de formations.

– pour les territoires et les communes : affaiblissement du service public,  dévitalisation progressive  de nos départements,  affaiblissement des pôles économiques dans notre territoire (fermeture d’entreprises, suppression de services…).

–  pour les personnels : suppressions  de  postes,  mutations fonctionnelles ou géographiques imposées,  régionalisation du recrutement et du mouvement des enseignants du 2d degré,  gestion des affaires courantes transférée à Bordeaux (carrière, retraite…)

Manifestation en solidarité avec le peuple palestinien samedi 23 juin à 14h30 à Limoges

1948-2018 ; Israël : 70 ans de violations des droits des
Palestiniens et des résolutions internationales. Ça suffit !

A Limoges, manifestation le samedi 23 juin 2018 à 14h30 place de la République à Limoges.

Avec de nombreuses autres associations et mouvements, ENSEMBLE! 87 appelle à y participer.

15 mai 1948: C’est la Naqba (catastrophe pour le peuple palestinien), 800 000 Palestiniens sont expulsés de leurs foyers et de leurs terres, des villages sont rasés… à la suite de la proclamation de l’indépendance d’Israël.

15 mai 2018 : Cela fait 70 ans que les Palestiniens endurent l’occupation, la destruction et l’annexion de leurs terres, la confiscation de l’eau, le régime colonial militaire que leur impose Israël ; mur, check points, routes de contournement qui permettent aux colons israéliens de passer librement des colonies implantées en Cisjordanie à Israël…

A Gaza, 2 millions d’habitants dont 1.3 millions de réfugiés sont enfermés dans une étroite bande de terre et subissent le blocus israélien depuis 11 ans ; économie à plat, chômage, bombardements de l’armée israélienne (2008-2009, 2012… )…

La population survit grâce à la perfusion de l’aide humanitaire. Gaza a été déclarée région invivable d’ici 2020 par l’ONU.

Cotte situation perdure malgré les multiples résolutions de l’ONU qui réclament l’arrêt de la colonisation, de l’occupation et la restitution des terres aux Palestiniens.

Depuis la fin du mois de mars, l’armée israélienne tire à balles réelles sur les habitants de Gaza protestant contre le blocus : plus de 100 morts et des milliers de blessés dont des très graves en raison de l’utilisation de balles explosives. Malgré une situation désastreuse et une vie impossible, les Palestiniens continuent de résister face au blocus, à l’occupation et à la colonisation de leur pays. La volonté du gouvernement israélien est de briser toute résistance en emprisonnant massivement les militants des droits humains comme Salah Hamouri, avocat franco-palestinien en détention administrative depuis le 23 août 2017, Khalida Jarrar, parlementaire, en détention administrative depuis le 2 juillet 2017.

Ils sont 6119 prisonniers dont 330 enfants, le plus ieune n’a que 8 ans, 39 femmes, 11 parlementaires… Les enfants comme les adultes sont arrêtés, poursuivis par la justice militaire israélienne, soumis à l’isolement cellulaire, interrogés, violentés… Ahed Tamimi, 17 ans a été arrêtée le 15 décembre 2017 parce qu’elle tentait de faire partir un soldat israélien de son jardin. Le personnel médical n’est plus épargné : une jeune infirmière, Raxan Najjar, 21 ans a été assassinée par un sniper israélien alors qu’elle portait secours aux blessés.

Nous réclamons au gouvernement français et au Parlement européen, des mesures politiques fortes pour faire pression sur le gouvernement israélien et permettre que la solution à 2 Etats voient le jour !

Pour une Paix durable entre le peuple Palestinien et Israélien, manifestons ensemble !

Les premiers signataires Limousin Palestine (AFPS), AMLF, PCF87, ACTL, MRAP, LDH, MDH, MRE, Ensemble! 87, NPA87, BDS, MJCF87, Militonts FI87, les Femmes en noir, les élus PCF/ADS du Conseil Départemental, EELV Limousin, ACFAL…

Marée populaire à Limoges : samedi 26 mai à 16h pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité !

Soyons nombreux contre Macron et son monde !

Le 26 mai 2018, la marée populaire pour défendre l’égalité, la justice sociale et la solidarité est aussi à Limoges. On compte sur votre présence :
– Gare des Bénédictins, 16h : départ de la manifestation
– Fin de journée, esplanade de la FAC de droit (en dessous de la BFM quartier mairie): restauration, bière et jus de pomme locaux, musique…

Pour contribuer au succès de l’initiative, vous pouvez aussi :

  • partager l’appel sur les réseaux sociaux : https://www.facebook.com/events/2085680961685799/
  • coller l’affiche près de chez vous : affichette
  • ou distribuer le tract d’appel  : Tract

Et bien évidemment faire venir celles et ceux qui ne peuvent pas ou n’ont pas l’habitude de venir !

Voici ci-dessous l’appel national : 
Pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité, marée populaire le samedi 26 mai.Un constat s’impose, Emmanuel Macron, son gouvernement et le Medef sont décidés à imposer coûte que coûte une restructuration en profondeur de la société française : politique d’austérité, destruction des droits des salarié.es, introduction de la sélection à l’entrée de l’université, casse des services publics, aggravation du sort des sans emplois, réorganisation aggravant les inégalités en matière d’accès à la justice, réforme fiscale favorable aux plus riches, loi répressive contre les migrant.es, priorité donnée au secret des affaires contre le droit à l’information, introduction de l’état d’urgence dans le droit commun, répression des mouvements sociaux et des jeunes des quartiers populaires, utilisation de l’égalité femmes-hommes comme simple outil de communication, sans moyens financiers, alors que les femmes sont les premières concernées par les régressions sociales… sans oublier une politique militariste au niveau international. La multiplication des mesures prises avec brutalité sur tous les fronts a un objectif, celui de créer un effet de sidération et espérer ainsi empêcher toute riposte. Le patronat profite de la situation pour multiplier les restructurations et rester sourd aux revendications du monde du travail. En s’en prenant aux personnels à statut, en particulier aux cheminot.es, Emmanuel Macron espère, s’il l’emporte, casser tout esprit de résistance.
Ce coup de force peut échouer, car les mobilisations se multiplient dans le pays, chacune avec sa spécificité : journée nationale d’action, grèves, occupation d’universités, manifestations… Il appartient évidemment aux organisations syndicales de décider, avec les personnels concernés, de leurs formes d’action. Chacune d’entre elles a, a priori, des ressorts différents, mais au-delà de tel ou tel aspect, ce dont il est question concerne la nature même de la société dans laquelle nous voulons vivre. Voulons-nous vivre dans une société où les droits sociaux seraient réduits à néant, où les services publics et la sécurité sociale auraient disparu, où l’inégalité de traitement des territoires serait la règle, où l’accès à l’université serait de plus en plus réduit, où les lanceuses et lanceurs d’alerte et journalistes seraient bâillonnés, où les défis écologiques seraient soumis aux intérêts de la finance, où le logement, les HLM et les locataires seraient marchandises, où la lutte contre les discriminations se réduit à des discours ? Ou, au contraire, voulons-nous une société plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus égalitaire avec un meilleur partage des richesses ? Tel est l’enjeu.
Le gouvernement espère que ces mobilisations sectorielles restent isolées et qu’il pourra les défaire les unes après les autres en tenant bon, en les laissant s’épuiser ou en les réprimant. Affichant sa détermination, il espère ainsi nous décourager. Il se trompe, comme le montre la multiplication des collectifs citoyens en lien avec les salarié.es, les retraité.es et les étudiant.es ainsi que le succès de la solidarité aux grévistes, notamment à ceux de la SNCF. Il s’agit maintenant d’aller plus loin et, toutes et tous ensemble, d’affirmer dans la rue que des alternatives existent, que nous ne nous résignons pas au sort que nous promet ce gouvernement. Il fait la sourde oreille, il faut le forcer à nous entendre et à retirer ses projets.
Dans le respect de nos champs d’interventions respectifs, nous voulons aller au-delà de toutes les mobilisations positives qui existent déjà et rassembler toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques pour construire et réussir ensemble un grand rendez-vous citoyen. Partout en France organisons le samedi 26 mai une marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité.

Contre Macron et son monde : réussir les mobilisations du 1er et du 5 mai, en Limousin comme ailleurs !

 STOP : la destruction des droits sociaux et des services publics, ça suffit !

La France ne peut pas faire plus à « cause de la dette » et il faut faire des choix…C’est ce que tous les membres du gouvernement Macron/Philippe répètent à l’envi :  hausse de la CSG pour les retraités, baisse des APL pour les locataires, diminution du nombre de fonctionnaires, retour à la case chômage pour les contrats aidés, fermeture de classes en milieu rural, …

C’est avec le même refrain que ce gouvernement argumente sur la nécessité de sélectionner dans l’enseignement supérieur au lieu d’ouvrir des places supplémentaires, qu’il pointe du doigt le « statut des cheminots » pour soumettre la SNCF à la concurrence et, à terme, à la privatisation ; c’est toujours sur le même air qu’il explique aux salariés des hôpitaux ou des  EHPAD,  qu’on ne peut leur accorder qu’une aumône, qu’on ne peut rien faire quand Carrefour ou Pimkie licencient… ou que les sous-traitants automobiles de GMS et de Steva en Limousin sont mis à mal…

Pourtant, de l’argent il y en a ! Plein ! Mais il pourrait servir à autre chose !

Il n’y aurait pas d’argent… SAUF que le gouvernement a trouvé ces milliards : pour supprimer l’impôt sur la fortune, ou étendre le Crédit Impôt Compétitivité Emploi sans créer d’emplois… Et tout ça au moment où les entreprises du CAC 40 annoncent des bénéfices record : près de 100 milliards de profits !

C’est donc bien un choix : alors qu’on favorise les plus riches, rien pour le plus grand nombre. Il est plus facile de nous faire croire, dans les medias, que ceux qui contestent sont des privilégiés, des nantis, … que tous se plaignent pour de mauvaises raisons…nous opposer entre nous, diviser pour mieux régner : une histoire vieille comme le monde ! Et nous ne pouvons accepter que certaines luttes aient comme seule réponse une répression violente.

Tous ceux qui sont dans la rue, en grève, ou qui dénoncent, à leur manière, ces injustices défendent la même chose :

  • des conditions de vie et de travail décentes et une protection sociale pour tous
  • des services publics de qualité sur tout le territoire, en ville comme à la campagne !
  • une juste redistribution des richesses

En Haute-Vienne, 18 organisations, syndicales, politiques et associatives appellent à la réussite et à l’amplification des mobilisations  à venir : CGT, FSU, Solidaires, CNT, UNEF, Confédération Paysanne (jeunes), Coordination des Intermittents et Précaires, Attac, Europe-Ecologie Les Verts, ENSEMBLE, NPA, PCF, Jeunes Communistes, Parti de Gauche, ADS, Ecolo, militants France Insoumise, Génération.s, Gauche sociale et Populaire Bellachonne.

Voici le tract que vous pouvez diffuser autour de vous (boîte aux lettres, mails, réseaux sociaux, …) pour convaincre les récalcitrants : en version noir et blanc (TRACT A4 N&B 1et 5 mai)  ou en version couleur (écran A5 couleur 1et 5 mai  ).

Mobilisons-nous pour assurer la réussite du 1er et du 5 mai !

Le 1er mai en Limousin :

• Brive : 10h30 sur le parvis de la gare
• Tulle : 10 h à la gare (où se trouvera une expo sur mai 68)
• Ussel : 10 h 30 place de la République
• Guéret : 10h30 devant la mairie
• Limoges : 10h30 carrefour Tourny
• Saint Junien : 10h30 Bourse du travail
• Bellac : 10h30 devant la mairie

Et le 5 mai, des cars montent à Paris pour faire la « fête à Macron », à l’occasion de  l’anniversaire de sa 1ère année au pouvoir :

  • car au départ de Saint-Junien 7h00 / Limoges 7h30 / La Croisière 8h00 (contacts : 06 12 04 33 64 ou lafetamacron@gmail.com)
  • car au départ de Guéret 7h00 avec arrêt à La Souterraine 7h30 (centre Y. Furet) et Châteauroux 8h45 (restaurant L’escale) pour le fête à Macron (contact : alix@hermeline.fr)

Pour des services publics, partout, pour toutes et tous ! Pour la victoire des cheminots ! Dans la rue en Limousin le jeudi 19 avril 2018

« Macron, un an ça suffit ! » 

C’en est trop ! Les mensonges du gouvernement se retournent contre lui. Il parle de la « dette de la SNCF ». C’était à l’Etat de payer les investissements et pas aux usagers ni aux cheminots. Ces gâchis d’hier ne leur donnent pas raison aujourd’hui. Qui a décidé ? Qui en a profité ? Le but de ce gouvernement est de servir les intérêts privés. De la même manière le statut des cheminots n’est pas une cause des problèmes de la SNCF.

Si le gouvernement choisit cette « communication », c’est avec l’objectif de réduire les services publics, alors qu’ils sont un élément décisif de l’égalité entre les territoires et les individus, entre les femmes et les hommes. Les privatiser, c’est offrir une nouvelle source de profits au patronat.

Toutes les luttes actuelles  se heurtent à la même politique gouvernementale : Carrefour, Hôpitaux, chauffeurs Uber, étudiants et enseignants, sans papiers, migrants… Avec Macron, c’est un programme de destruction des solidarités afin d’imposer une société de compétition.

C’est pourquoi la grève des cheminots a une place décisive. Le combat des cheminots est celui de toutes et tous. Le MEDEF, Macron et son monde, veulent assommer, détruire le mouvement syndical et démocratique : laisser un désert syndical, un désert de services publics dans de nombreux territoires, un désert démocratique avec la réforme de la Constitution.

Pourtant nous pouvons gagner : les actes de solidarité avec les grévistes, le soutien financier, les mobilisations dans un nombre croissant de secteurs le montrent. Oui ce gouvernement peut perdre… Avec un large soutien populaire, dans les manifestations et dans les grèves, il est possible de dire « Macron, un an ça suffit ! »

Prochaine étape : le jeudi 19 avril, avec de nombreuses manifestations en Limousin :

• Brive : 10h rond point du Teinchurier
• Tulle : 14h Gare
• Ussel : 14h30 Gare
• Guéret : 14h30 Gare
• Limoges : 10h30 carrefour Tourny

Soutien aux migrants : manifestation à Limoges le mardi 10 avril à 18h

 Le collectif  » Chabatz d’entrar « ,  auquel participe ENSEMBLE 87, engagé dans le soutien aux migrants, appelle à un rassemblement le mardi 10 avril à 18 h au Palais de Justice, Place d’Aine à Limoges. Ce sera l’occasion de dénoncer le délit de solidarité appliqué par le ministère de l’Intérieur en encourageant l’inculpation des personnes qui, comme Martine Landry (membre d’Amnesty International) à Nice, ont seulement fait preuve de générosité et d’humanité.
Il s’agit aussi, en prolongeant le rassemblement par une manifestation à la Préfecture, d’interpeller les pouvoirs publics sur la nécessité de faire respecter un droit inconditionnel au logement. En effet, avec la fin de la trêve hivernale, des expulsions sont programmées en Haute-Vienne courant avril, mettant des dizaines de familles à la rue, sans aucune solution.
Cette mobilisation permettra aussi de dénoncer le projet de loi  » Asile et immigration «  qui sera débattu courant avril à l’Assemblée : il s’agit d’une loi de répression et de criminalisation des migrants, qui réduit encore les maigres droits des réfugiés, favorisant une politique d’expulsion et les condamnant à une vie clandestine.

Voici le tract à diffuser autour de vous :  A5-chabatz manif10-04-18

Le 22 mars en Limousin : défendre ensemble les services publics ! Solidarité avec les cheminots et les cheminotes !

En Limousin, pour défendre les services publics et pour soutenir les cheminot-e-s dans leur lutte contre la privatisation par étapes de la SNCF, des manifestations sont organisées : 

  • TULLE  : 10h Cité Administrative
  • GUÉRET  : 10h30 Préfecture
  • LIMOGES  : 10h30 Carrefour Tourny

Au plan national, les organisations politiques opposés à la politique de destruction des biens et des droits communs par le gouvernement Macron-Philippe, dont ENSEMBLE!, appellent à participer à la mobilisation. Voici le texte national de cet appel.

Déclaration unitaire

Voilà des années que les gouvernements successifs ont fait le choix de la privatisation des transports contre le climat, l’égalité et le social : sous-investissent dans le rail et  investissement massif  vers autoroutes et autocars, privatisés qui favorisent notamment l’explosion du trafic de marchandises par poids lourds.

Depuis 1997 et la création de RFF, la SNCF est toujours plus segmentée, pour casser le corps social cheminot et poursuivre les privatisations  préconisées par les « directives » européennes. Aujourd’hui Macron pousse au bout la logique, de l’éclatement de la SNCF. Partout en Europe, les recettes qu’il veut appliquer  produisent la disparition de  lignes, l’explosion des prix, la vétusté des installations et des trains, la disparition du fret. C’est toute la population qui paie triplement l’addition : financièrement, par l’inégalité territoriale induite et par sa santé altérée par la pollution générée.

Après 20 ans d’une libéralisation amplifiée, l’empilement des directives européennes poussant dans ce sens, Macron propose d’achever le service public ferroviaire par ordonnances avec des conséquences dramatiques pour les usagers et l’aménagement des territoires. Pour y arriver, Il accable les cheminot•tes, les faisant passer pour des privilégié.es qui, comme les retraité.es, les étudiant.es ou les chômeurs.ses, ruineraient la France. La réalité est tout autre : ils et elles se battent pour sauver l’emploi des générations qui viennent.

Le train n’est pas qu’un moyen de locomotion, c’est un service public, un outil essentiel à la transition écologique et il est insupportable qu’il puisse s’arrêter aux portes des grandes métropoles. La bataille du service public ferroviaire est d’abord une bataille pour l’égalité.

Face à ce gouvernement, qui veut parachever la transformation d’un service public censé être guidé par l’intérêt général en une entreprise du CAC 40, , les cheminots et les cheminotes ne sont comptables de rien. Pas plus que les étudiant.es qui perdent une partie de leurs APL, les retraité.es qui voient la CSG augmenter, les personnels de soins, les enseignant.es, les chômeurs.ses ou l’ensemble des fonctionnaires. Pas plus que les migrant.es qui subissent une politique indigne.

Macron et Philippe veulent en faire des bouc-émissaire  ? Nous affirmons collectivement qu’ils et elles sont les victimes des politiques libérales menées depuis tant d’années, qui expliquent la montée de l’extrême droite partout en Europe.

Ils nous veulent désunis ? Nous répondons que nous serons dans la rue le 22 mars pour défendre l’accès au service public, à commencer par le ferroviaire, les cheminot-e-s, mais aussi l’ensemble des fonctionnaires et l’intérêt des usager-e-s.

Alternative Libertaire (AL) ; EELV ; Ensemble ; Gauche Démocratique et sociale (GDS) ;  Géneration.s, ;Groupe Parlementaire FI,  NPA ; Nouvelle Donne, PCF ;  PCOF ; Parti de Gauche (PG), République et socialisme

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