Tag: manifestation

Manifestation de soutien aux migrants à Limoges – Samedi 7 septembre 2019

A l’appel du collectif Chabatz d’entrar, auquel participe Ensemble!, une manifestation est organisée à Limoges pour stopper les expulsions de migrants.

Rendez-vous samedi 7 septembre 2019 à 14 heures, devant la préfecture de Limoges.

Voici le texte d’appel : 
Après Paris, Lille, Lyon, Bordeaux, Montpellier… Limoges a droit à son lot d’expulsion de squats et de migrant-e-s…
Au demeurant, suite à une première expulsion en mai 2019, un second lieu inoccupé jusqu’alors depuis 10 ans est ouvert pour accueillir les expulsé-e-s, les débouté-e-s, les apatrides… au 4 bis avenue de la Révolution à Limoges.
À ce jour, 90 personnes y logent dont une vingtaine d’enfants scolarisé-e-s. Sans ce lieu, c’est la peur, l’isolement, la rue… Problème, à cette veille de rentrée : le marché lucratif de la friche industrielle possède bien plus de valeur qu’un abri à sans-papiers. Alors, chaque personne vivant au squat est conviée au procès le 9 septembre aux fins d’expulsion.
Remercions les promoteurs immobiliers de se préoccuper de l’écologie et de notre santé…
Remercions l’État et ses lois Élan et Alur de se porter garant de la propriété.
Crever dehors, c’est sain !
Parce que l’écologie n’est pas un bien immobilier, parce-que la migration n’est pas un marché, et que la vie ne devrait pas dépendre d’un simple statut légal.
Soyons solidaires, nombreux et révolté-e-s !
Manifestation de soutien aux migrants samedi 7 septembre à Limoges, 14h devant la préfecture.

Faites circuler l’info !

Manifestation en solidarité avec le peuple palestinien : samedi 24 novembre 2018 à Limoges à 15h

 A l’appel du Collectif pour une paix juste entre Palestiniens et Israéliens, premiers signataires :   Limousin-Palestine (AFPS), Femmes en noir, Comité BDS, ACFAL, MRAP, Ensemble, NPA, EELV, ADS, MRE, PCF…

Manifestation Samedi 24 novembre à 15 h – Départ : Place St Michel (St Michel des Lions) à Limoges

Il y a 70 ans, la Naqba (Catastrophe pour le peuple palestinien) a lieu suite à la proclamation de l’indépendance d’Israël ; 800 000 Palestiniens sont expulsés de leurs foyers et de leurs terres, des villages sont rasés…

Aujourd’hui, l’Etat d’Israël poursuit la colonisation de la Cisjordanie et notamment celle de Jérusalem-Est ; plus de 600 000 colons sont installés en Cisjordanie. Le gouvernement israélien viole en toute impunité les droits humains et le droit international en privant les Palestiniens de la liberté de se déplacer, de travailler ou de se soigner, par la mise en place des check-points, le mur, les routes de contournement.

Gaza est sous blocus total depuis juin 2007. 2 millions de personnes survivent par l’aide humanitaire internationale, la situation est catastrophique et l’ONU a déclaré ce territoire invivable d’ici 2020. Depuis la fin du mois de mars, l’armée israélienne tire à balles réelles sur les habitants de Gaza protestant contre le blocus et a récemment bombardé des quartiers de Gaza. Israël s’est rendue coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité après que 2200 Gazaouis avaient été tués sous le déluge de feu israélien au cours de l’été 2014.

Malgré une situation désastreuse et une vie impossible, les Palestiniens continuent de résister face au blocus, à l’occupation et à la colonisation de leur pays.

Plus de 6000 prisonniers palestiniens. 

La volonté du gouvernement israélien est de briser toute résistance en emprisonnant massivement les militants des droits humains comme Salah Hamouri, avocat franco-palestinien qui était en détention administrative depuis le 23 août 2017 et qui vient enfin, juste d’être libéré, Khalida Jarrar, parlementaire est en détention administrative depuis le 2 juillet 2017.

450 Palestiniens sont encore en détention administrative Les prisonniers en détention administrative, qui peut être renouvelée tous les six mois, sont retenus pour des motifs purement arbitraires, sans procès, au mépris du droit international.

Cette situation perdure malgré les multiples résolutions de l’ONU qui réclament l’arrêt de la colonisation, de l’occupation et la restitution des terres aux Palestiniens.

Nous réclamons au gouvernement français et au Parlement européen, des mesures politiques fortes pour faire pression sur le gouvernement israélien :

  • La protection du peuple palestinien.

La suspension de l’accord d’association économique U.-E.-Israël, dont l’article 2 considère le « respect des droits humains et des principes démocratiques » comme un « élément essentiel ».

  • La reconnaissance de l’Etat de Palestine.

Et ainsi exiger :

  • La levée du blocus sur la population de Gaza.
  • L’arrêt de la colonisation de la Cisjordanie, préalable nécessaire pour la relance des négociations entre Palestiniens et Israéliens.
  • La libération de tous les prisonniers politiques et aussi celle de G.I. Abdallah, militant libanais de la cause palestinienne incarcéré depuis plus de 30 ans en France et éligible à la libération conditionnelle depuis 1999.

Marée populaire à Limoges : samedi 26 mai à 16h pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité !

Soyons nombreux contre Macron et son monde !

Le 26 mai 2018, la marée populaire pour défendre l’égalité, la justice sociale et la solidarité est aussi à Limoges. On compte sur votre présence :
– Gare des Bénédictins, 16h : départ de la manifestation
– Fin de journée, esplanade de la FAC de droit (en dessous de la BFM quartier mairie): restauration, bière et jus de pomme locaux, musique…

Pour contribuer au succès de l’initiative, vous pouvez aussi :

  • partager l’appel sur les réseaux sociaux : https://www.facebook.com/events/2085680961685799/
  • coller l’affiche près de chez vous : affichette
  • ou distribuer le tract d’appel  : Tract

Et bien évidemment faire venir celles et ceux qui ne peuvent pas ou n’ont pas l’habitude de venir !

Voici ci-dessous l’appel national : 
Pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité, marée populaire le samedi 26 mai.Un constat s’impose, Emmanuel Macron, son gouvernement et le Medef sont décidés à imposer coûte que coûte une restructuration en profondeur de la société française : politique d’austérité, destruction des droits des salarié.es, introduction de la sélection à l’entrée de l’université, casse des services publics, aggravation du sort des sans emplois, réorganisation aggravant les inégalités en matière d’accès à la justice, réforme fiscale favorable aux plus riches, loi répressive contre les migrant.es, priorité donnée au secret des affaires contre le droit à l’information, introduction de l’état d’urgence dans le droit commun, répression des mouvements sociaux et des jeunes des quartiers populaires, utilisation de l’égalité femmes-hommes comme simple outil de communication, sans moyens financiers, alors que les femmes sont les premières concernées par les régressions sociales… sans oublier une politique militariste au niveau international. La multiplication des mesures prises avec brutalité sur tous les fronts a un objectif, celui de créer un effet de sidération et espérer ainsi empêcher toute riposte. Le patronat profite de la situation pour multiplier les restructurations et rester sourd aux revendications du monde du travail. En s’en prenant aux personnels à statut, en particulier aux cheminot.es, Emmanuel Macron espère, s’il l’emporte, casser tout esprit de résistance.
Ce coup de force peut échouer, car les mobilisations se multiplient dans le pays, chacune avec sa spécificité : journée nationale d’action, grèves, occupation d’universités, manifestations… Il appartient évidemment aux organisations syndicales de décider, avec les personnels concernés, de leurs formes d’action. Chacune d’entre elles a, a priori, des ressorts différents, mais au-delà de tel ou tel aspect, ce dont il est question concerne la nature même de la société dans laquelle nous voulons vivre. Voulons-nous vivre dans une société où les droits sociaux seraient réduits à néant, où les services publics et la sécurité sociale auraient disparu, où l’inégalité de traitement des territoires serait la règle, où l’accès à l’université serait de plus en plus réduit, où les lanceuses et lanceurs d’alerte et journalistes seraient bâillonnés, où les défis écologiques seraient soumis aux intérêts de la finance, où le logement, les HLM et les locataires seraient marchandises, où la lutte contre les discriminations se réduit à des discours ? Ou, au contraire, voulons-nous une société plus juste, plus solidaire, plus démocratique, plus égalitaire avec un meilleur partage des richesses ? Tel est l’enjeu.
Le gouvernement espère que ces mobilisations sectorielles restent isolées et qu’il pourra les défaire les unes après les autres en tenant bon, en les laissant s’épuiser ou en les réprimant. Affichant sa détermination, il espère ainsi nous décourager. Il se trompe, comme le montre la multiplication des collectifs citoyens en lien avec les salarié.es, les retraité.es et les étudiant.es ainsi que le succès de la solidarité aux grévistes, notamment à ceux de la SNCF. Il s’agit maintenant d’aller plus loin et, toutes et tous ensemble, d’affirmer dans la rue que des alternatives existent, que nous ne nous résignons pas au sort que nous promet ce gouvernement. Il fait la sourde oreille, il faut le forcer à nous entendre et à retirer ses projets.
Dans le respect de nos champs d’interventions respectifs, nous voulons aller au-delà de toutes les mobilisations positives qui existent déjà et rassembler toutes les forces sociales, syndicales, associatives, politiques pour construire et réussir ensemble un grand rendez-vous citoyen. Partout en France organisons le samedi 26 mai une marée populaire pour l’égalité, la justice sociale et la solidarité.

Le 22 mars en Limousin : défendre ensemble les services publics ! Solidarité avec les cheminots et les cheminotes !

En Limousin, pour défendre les services publics et pour soutenir les cheminot-e-s dans leur lutte contre la privatisation par étapes de la SNCF, des manifestations sont organisées : 

  • TULLE  : 10h Cité Administrative
  • GUÉRET  : 10h30 Préfecture
  • LIMOGES  : 10h30 Carrefour Tourny

Au plan national, les organisations politiques opposés à la politique de destruction des biens et des droits communs par le gouvernement Macron-Philippe, dont ENSEMBLE!, appellent à participer à la mobilisation. Voici le texte national de cet appel.

Déclaration unitaire

Voilà des années que les gouvernements successifs ont fait le choix de la privatisation des transports contre le climat, l’égalité et le social : sous-investissent dans le rail et  investissement massif  vers autoroutes et autocars, privatisés qui favorisent notamment l’explosion du trafic de marchandises par poids lourds.

Depuis 1997 et la création de RFF, la SNCF est toujours plus segmentée, pour casser le corps social cheminot et poursuivre les privatisations  préconisées par les « directives » européennes. Aujourd’hui Macron pousse au bout la logique, de l’éclatement de la SNCF. Partout en Europe, les recettes qu’il veut appliquer  produisent la disparition de  lignes, l’explosion des prix, la vétusté des installations et des trains, la disparition du fret. C’est toute la population qui paie triplement l’addition : financièrement, par l’inégalité territoriale induite et par sa santé altérée par la pollution générée.

Après 20 ans d’une libéralisation amplifiée, l’empilement des directives européennes poussant dans ce sens, Macron propose d’achever le service public ferroviaire par ordonnances avec des conséquences dramatiques pour les usagers et l’aménagement des territoires. Pour y arriver, Il accable les cheminot•tes, les faisant passer pour des privilégié.es qui, comme les retraité.es, les étudiant.es ou les chômeurs.ses, ruineraient la France. La réalité est tout autre : ils et elles se battent pour sauver l’emploi des générations qui viennent.

Le train n’est pas qu’un moyen de locomotion, c’est un service public, un outil essentiel à la transition écologique et il est insupportable qu’il puisse s’arrêter aux portes des grandes métropoles. La bataille du service public ferroviaire est d’abord une bataille pour l’égalité.

Face à ce gouvernement, qui veut parachever la transformation d’un service public censé être guidé par l’intérêt général en une entreprise du CAC 40, , les cheminots et les cheminotes ne sont comptables de rien. Pas plus que les étudiant.es qui perdent une partie de leurs APL, les retraité.es qui voient la CSG augmenter, les personnels de soins, les enseignant.es, les chômeurs.ses ou l’ensemble des fonctionnaires. Pas plus que les migrant.es qui subissent une politique indigne.

Macron et Philippe veulent en faire des bouc-émissaire  ? Nous affirmons collectivement qu’ils et elles sont les victimes des politiques libérales menées depuis tant d’années, qui expliquent la montée de l’extrême droite partout en Europe.

Ils nous veulent désunis ? Nous répondons que nous serons dans la rue le 22 mars pour défendre l’accès au service public, à commencer par le ferroviaire, les cheminot-e-s, mais aussi l’ensemble des fonctionnaires et l’intérêt des usager-e-s.

Alternative Libertaire (AL) ; EELV ; Ensemble ; Gauche Démocratique et sociale (GDS) ;  Géneration.s, ;Groupe Parlementaire FI,  NPA ; Nouvelle Donne, PCF ;  PCOF ; Parti de Gauche (PG), République et socialisme

Ils sont passés en force pendant l’été… nous sommes à nouveau dans la rue le 15 septembre en Limousin : abrogation de la loi-travail !

ob_4672ef_cgt-urif-15sept2016Dans un été pollué par des débats sur l’ordre, la sécurité, avec des relents xénophobes croissants, la loi relative au travail, à la modernisation du dialogue social et à la sécurisation des parcours professionnels dite « Loi travail » du 8 août 2016 a été promulguée le 9 août 2016. La censure du Conseil Constitutionnel n’a concerné que des points mineurs laissant ainsi le champ libre à des questions prioritaires de constitutionnalité.

Cette loi qui compte 123 articles et qui nécessite 127 décrets dont la publication va s’étaler de septembre 2016 à la fin du 1er trimestre 2017 constitue un véritable danger. Il faut l’abroger !

ENSEMBLE! appelle à participer à toutes les mobilisations en ce sens.

Qu’y a-t-il dans cette loi ?

  • La primauté de l’accord d’entreprise répétée à chaque page du code du travail !
  • Le mépris de la démocratie : les accords majoritaires contournés par une consultation sans quorum !
  • Temps de travail : jusqu’à 60 heures possible par semaine et 12 heures par jour !
  • Forfait jour ouvert à tous avec jusqu’a 235 jours de travail par an !
  • Réduction du temps de repos quotidien !
  • Réduction des congés pour évènements familiaux réduits !
  • Licenciements facilités au simple motif de la préservation de l’emploi !
  • Critères du licenciement économique élargis !

Ne laissons pas sacrifier les droits sociaux de tous au profit des intérêts de quelques-uns servis par le gouvernement Hollande, avec le soutien complice du MEDEF et de la droite. Tous dans la rue le 15 septembre !

On lâche rien !

En Limousin on se mobilise jeudi 15 septembre 2016 :

  • à Limoges, carrefour Tourny à 10h30
  • à Tulle à 15 heures, quartier de la gare
  • à Guéret à 10h devant la préfecture

Solidarité avec les travailleurs sociaux de Magnac-Laval (87) : manif de soutien à Limoges le 13 juillet

jeunes_majeurs

Pour avoir osé se rassembler il y a quelques semaines sur le parvis du Conseil départemental, afin de soutenir un jeune de 18 ans scolarisé que la protection sociale de l’enfance a mis à la rue, parce qu’il n’avait pas trois ans de prise en charge continue (merci le conseil départemental de la Haute-Vienne…), des travailleurs sociaux salariés du Vieux Collège de Magnac Laval sont menacés de sanctions disciplinaires voire de licenciement. 

Ce sont 19 salariés de l’association du Vieux Collège qui sont sanctionnés abusivement pour avoir exercé leur droit à la libre expression lors d’une manifestation le 13 avril 2016 : la secrétaire du CHSCT est mise à pied 3 jours sans solde, 5 salarié-es ont eu une observation écrite inscrite dans leur dossier professionnel pour 2 ans et 11 salarié-es attendent avec angoisse leur réponse suite à leur entretien. Et ce jour là, l’inspection du travail étudiera la validité de la procédure de licenciement à l’encontre de l’un des salariés du Vieux Collège représentant du personnel au Comité d’Entreprise et délégué du personnel.

 

Afin, de les soutenir, un rassemblement est prévu le 13 juillet 2016 à partir de 9h devant la DIRECTTE à Limoges (2, allée Saint-Alexis derrière la BFM et la fac de Droit et des sciences économiques) au moment où sera rendu l’arbitrage sur le licenciement de Hervé Varella élu au CHSCT du Vieux Collège, à l’appel de l’intersyndicale CGT, Force Ouvrière, FSU, SUD Santé-sociaux

Soyons présents en nombre pour les soutenir ! Cette criminalisation de ceux qui osent faire preuve de solidarité est inacceptable !

Mardi 28 juin : en Limousin, on solde la loi El Khomri… dans la rue !

13321840_495473637306962_1904226766337464423_nHollande et Valls ne gagneront pas ! Malgré leur obstination, leurs pratiques antidémocratiques, leurs tentatives de salir le mouvement contre la loi-travail, ils ont perdu la bataille de l’opinion publique. Plus de deux français sur trois ne veulent toujours pas de ce projet dont la droite n’aurait pas osé rêvé, et qui permet aujourd’hui à cette dernière de jouer la surenchère.

Il faut encore le dire : nous sommes déterminés à défendre la hiérarchie des normes, et à empêcher qu’il y ait un code du travail défini entreprise par entreprise. Nous défendrons la médecine du travail, comme l’inspection du travail. Nous ne laisserons pas leur loi rendre les licenciements plus faciles.

Privé, publics, lycéens étudiants, retraités, chômeurs nous sommes tous concernés. Sur ordre du MEDEF, ce gouvernement veut remettre en cause toutes les garanties collectives : l’assurance chômage, le code du travail, les conventions collectives, les statuts.

C’est pour cela que le mardi 28 juin, on redescend dans la rue en Limousin :

  • à Limoges : rendez-vous à 10h30 carrefour Tourny pour manifester dans les rues commerçantes, afin de solder la loi El Khomri et terminer à la préfecture afin de déposer les votations citoyennes
  • à Guéret : 10h30 devant la préfecture
  • Tulle : départ 9 h de la grande poste de Tulle, place J Tavé.

Loi-travail : on continue en Limousin le jeudi 23 juin 2016 !

onlacherienAprès le succès de la mobilisation nationale du 14 juin, après les tentations autoritaires d’un gouvernement qui, par la voix de son premier sinistre Manuel Valls appelle les syndicats à « renoncer aux manifestations »… comme si nous étions les responsables de la situation ! L’intersyndicale CGT – FO – FSU – Solidaires – UNEF – SGL appelle à nouveau à descendre dans la rue pour exiger le retrait d’un texte dont le contenu n’a toujours aucun rapport avec des idées de gauche ! 

  • Brive : jeudi 23 juin : rassemblement à 9h place de la Guierle ; manifestation à partir de 10h ; pique-nique et votation citoyenne à partir de 11h30 sur le parvis du théâtre.
  • Limoges : jeudi 23 juin 10h30 devant la préfecture avant de partir en manifestation

(autres infos sur le site dès qu’elles seront connues)

Pensez à faire circuler l’info autour de vous… mais aussi à organiser la votation citoyenne et à voter également !

Pour mémoire, si la votation citoyenne n’est pas organisée sur votre lieu de travail, les organisations syndicales ont mis en place des sites pour l’organiser, comme http://votationtravail.fr pour récupérer le matériel ou pour voter directement en ligne comme http://votation.fsu.fr ou https://www.force-ouvriere.fr/votation-citoyenne.

 

Dans la rue les 28 avril et 1er mai en Limousin ! Retrait de la loi-travail !

Loi-travail-EnsembleAlors qu’une très large majorité de la population rejette ce projet de loi, le tandem Hollande-Valls s’obstine. Malgré quelques rectifications, le fond du projet reste : l’inversion des normes en faveur de l’accord d’entreprise et la banalisation des licenciements économiques, notamment. Il est essentiel de tout faire pour mettre dans la rue des millions de personnes : c’est tout l’enjeu des manifestations du 28 avril et du 1er mai, auxquelles « Ensemble! » participera.

En Limousin, elles auront lieu :

  • le jeudi 28 avril :  
    • Brive : 10h place Churchill
    • Tulle : 14h30 place Brigouleix
    • Guéret : 10h30 devant le monument de la Résistance (av. De Gaulle)
    • Limoges : 10h30 carrefour Tourny
  • le dimanche 1er mai :
    • Brive : 10h place de la Halle  (marché couvert à côté de la grande poste)
    • Tulle : 10h salle Maryland 
    • Guéret : 10h30 devant la mairie
    • Limoges : 10h30 carrefour Tourny

La diversité des mobilisations et des formes de lutte est un atout :

Lire la suite

Samedi 9 avril : manifs et Nuits debout en Limousin !

nuit-debout-v3-noir Puisque le gouvernement a encore des problèmes d’audition, à nous de nous faire entendre plus fort et plus longtemps…

Donc, le samedi 9 avril en Limousin, on commence par des manifestations : 

  • à Brive : 10h : manif (rassemblement aux abord des Trois Provinces)
  • Guéret : 10h30 devant la mairie
  • Saint-Junien : 10h30
  • à Limoges : 14h30 : manif (point de départ Carrefour Tourny)

et on continue par des « nuits debout » : 

  • à Limoges, à partir de 18h30 Place de la République : venez avec vos pique-niques, vos coups de gueules, vos instruments, votre sens critique, vos idées… (détail de l’événement sur Facebook : https://www.facebook.com/events/779041398897101/ ou ici : http://nuitdeboutlimoges.chapitreun.fr
  • à Tulle, à partir de 18h place de la cathédrale (détails sur Facebook : https://www.facebook.com/events/836674683128973/)

Autres lieux mis à jour sur le site dès qu’ils seront connus ! (n’hésitez pas non plus à les partager !)

Lire plus